Une vidéo démo ça vous tente ?

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Le 10 juin prochain, a lieu la kermesse de l’école avec au programme un beau spectacle costumé « si Angoulême m’était contée » à 15h00. Stands ouverts dès 14h00 : brocante, jouets et livres d’occasion, vêtements, pêche à la ligne, buvette et salon de thé, jeux, etc…
Le mot du Président: Nous voici déjà à mi-chemin de l’année scolaire, en ce mois de février, temps du Carême qui a déjà bien avancé ; ce Carême qui est un temps « rabat-joie » ou « temps de joie » ?
Mercredi 31 janvier, l’école a célébré la fête de son Saint Patron. Ce fut l’occasion, après la messe, de bénir les locaux : un très beau moment qui a réuni élèves, institutrices, bénévoles, parents, amis de l’école. « Tu es béni, Seigneur, Dieu tout-puissant, Toi dont la sagesse a créé l’univers, Toi qui as doté l’homme d’intelligence, pour qu’il puisse connaître la vérité ; nous te prions en inaugurant cette école : qu’elle soit vouée à l’éducation des jeunes, au progrès de la connaissance, qu’elle soit un lieu où les enseignants comme les élèves s’instruiront de ta Parole de vérité
Retour sur le marché de Noël de l’école où étaient proposés bijoux (Perles de Philippine), livres (éditions de l’Emmanuel), déguisements (Premier de classe), chocolats (Chocolaterie Letuffe), et créations des mamans. Et un salon de thé où chacun pouvait discuter et se réchauffer !… Noëls traditionnels chantés par les élèves, pour le plus grand plaisir de tous.
Pas de départ en vacances de la Toussaint sans la marche des Saints ! Les enfants ont arboré leurs plus beaux déguisements en expliquant quel était le Saint qu’ils avaient choisi et ce qu’il avait fait. Un petit défilé, un temps de prière devant le saint sacrement à l’église, le tout clôturé par un bon goûter.
L’école a ouvert ses portes le 11 septembre 2017 : 22 élèves, de la moyenne section au CM2, répartis sur deux classes, ont fait leur rentrée, sous le soleil et dans la joie !
LETTRE DE S. JEAN BOSCO À SES CONFRÈRES Avant tout, si nous voulons nous montrer les amis du vrai bien de nos élèves et les amener à faire leur devoir, nous ne devons jamais oublier que nous représentons les parents de cette chère jeunesse qui fut toujours le tendre sujet de mes occupations, de mes études, de mon ministère sacerdotal, et de notre congrégation salésienne. Que de fois, mes chers fils, dans ma longue carrière, j’ai dû me persuader de cette grande vérité : il est toujours plus facile de s’irriter que de patienter, de menacer un enfant, que …